Le massacre du récif sud de la baie des Citrons est bien en cours ! 10 janvier 2025.
Alors que voici quelques années, le maire de Nouméa envisageait de mettre en place une barrière anti-requins à la baie des Citrons, nous faisions connaître nos nombreux et solides arguments étayant notre opposition.
Parmi eux, le tracé de ladite barrière qui excluait le récif nord mais incluait le récif sud décrit par les scientifiques comme “exceptionnel en zone urbaine”.
Les pouvoirs publics auguraient d’une augmentation de la fréquentation en lien avec le sentiment de sécurité.
Nous, nous indiquions que, dans ce double contexte, le récif sud serait piétiné, notamment par les hordes de croisiéristes, et que nous nous attendions donc tristement à sa disparition.
Eh bien, nous y sommes...
Alors que le mal est fait, le maire (MISE A JOUR: non ! pire encore, cela vient de citoyens inquiets et signe l'inertie des pouvoirs publics indifférents au sort de notre patrimoine naturel...) a apposé de maigres mises en garde pour tenter de sauver ce qui reste de l’écosystème.
Nous déplorons vivement que, comme d’ordinaire, le maire de Nouméa n’ait rien retenu de notre participation au dossier, pas même notre demande de modification du tracé.
Aujourd’hui, c’est l’ensemble des Calédoniens qui se retrouve lésé via la disparition annoncée d’un “remarquable” écosystème patrimonial.
Rappelons que tout cela a été fait avec l’aval de la province Sud à laquelle la compétence “environnement” est dévolue par la loi organique de mars 1999...
Quel fiasco de nos représentantEs !
Pour EPLP, Martine CORNAILLE
Alors que voici quelques années, le maire de Nouméa envisageait de mettre en place une barrière anti-requins à la baie des Citrons, nous faisions connaître nos nombreux et solides arguments étayant notre opposition.
Parmi eux, le tracé de ladite barrière qui excluait le récif nord mais incluait le récif sud décrit par les scientifiques comme “exceptionnel en zone urbaine”.
Les pouvoirs publics auguraient d’une augmentation de la fréquentation en lien avec le sentiment de sécurité.
Nous, nous indiquions que, dans ce double contexte, le récif sud serait piétiné, notamment par les hordes de croisiéristes, et que nous nous attendions donc tristement à sa disparition.
Eh bien, nous y sommes...
Alors que le mal est fait, le maire (MISE A JOUR: non ! pire encore, cela vient de citoyens inquiets et signe l'inertie des pouvoirs publics indifférents au sort de notre patrimoine naturel...) a apposé de maigres mises en garde pour tenter de sauver ce qui reste de l’écosystème.
Nous déplorons vivement que, comme d’ordinaire, le maire de Nouméa n’ait rien retenu de notre participation au dossier, pas même notre demande de modification du tracé.
Aujourd’hui, c’est l’ensemble des Calédoniens qui se retrouve lésé via la disparition annoncée d’un “remarquable” écosystème patrimonial.
Rappelons que tout cela a été fait avec l’aval de la province Sud à laquelle la compétence “environnement” est dévolue par la loi organique de mars 1999...
Quel fiasco de nos représentantEs !
Pour EPLP, Martine CORNAILLE