Comme en 2020, face à l’inaction des « responsables » municipaux, EPLP lance l’alerte sur la dangerosité du bloom algal en cours dans le lac de l’hippodrome de Nouméa.
Dès le 1er novembre 2024, nous avons écrit au maire de Nouméa pour lui faire part de notre inquiétude et lui rappeler sa responsabilité en matière de salubrité publique.
Les riverains du lac comme les sportifs et travailleurs accueillis sur le site pourraient être gravement incommodés par des émanations d’hydrogène sulfuré, gaz mortel s’il en est. Nous avons donc prié :
- le maire de Nouméa, de procéder au retrait immédiat de ces végétaux en putréfaction responsables d’émanations d’hydrogène sulfuré, gaz mortel,
- la présidente de la province Sud, de diligenter une enquête relative à de potentiels dysfonctionnements de la STEP à l’origine de ce bloom de façon à y apporter au plus vite toutes les remédiations nécessaires (1).
Trois semaines après, nous constatons que le maire n’a rien entrepris pour retirer les algues et encore moins pour curer le lac. Il semble même qu'il ne l'a jamais été ! En tout cas, rien de tel ne s’est passé depuis quatre ans et notre première alerte. Ce lac est devenu un cloaque rempli de déchets divers... Ce jour, 19 novembre, nous réitérons donc publiquement nos craintes face à un immobilisme de mauvais aloi.
Une grande manifestation publique est prévue début décembre sur le site. Madame le maire, prendrez-vous le risque de voir un ou des participants incommodés par l'hydrogène sulfuré faire un malaise ?
Nous avons déjà eu l’occasion de vous le dire : s’il faut choisir, alors le sain, le propre est préférable au beau. Dans l’intérêt général, il vous faut réviser vos priorités et agir conformément à vos obligations légales.
Pour EPLP, Martine Cornaille
(1) Nous effectuons des prélèvements pour analyses bactériologiques et chimiques afin d’évaluer de potentiels impacts sur la qualité des eaux de baignade en aval (Anse Vata)…
Dès le 1er novembre 2024, nous avons écrit au maire de Nouméa pour lui faire part de notre inquiétude et lui rappeler sa responsabilité en matière de salubrité publique.
Les riverains du lac comme les sportifs et travailleurs accueillis sur le site pourraient être gravement incommodés par des émanations d’hydrogène sulfuré, gaz mortel s’il en est. Nous avons donc prié :
- le maire de Nouméa, de procéder au retrait immédiat de ces végétaux en putréfaction responsables d’émanations d’hydrogène sulfuré, gaz mortel,
- la présidente de la province Sud, de diligenter une enquête relative à de potentiels dysfonctionnements de la STEP à l’origine de ce bloom de façon à y apporter au plus vite toutes les remédiations nécessaires (1).
Trois semaines après, nous constatons que le maire n’a rien entrepris pour retirer les algues et encore moins pour curer le lac. Il semble même qu'il ne l'a jamais été ! En tout cas, rien de tel ne s’est passé depuis quatre ans et notre première alerte. Ce lac est devenu un cloaque rempli de déchets divers... Ce jour, 19 novembre, nous réitérons donc publiquement nos craintes face à un immobilisme de mauvais aloi.
Une grande manifestation publique est prévue début décembre sur le site. Madame le maire, prendrez-vous le risque de voir un ou des participants incommodés par l'hydrogène sulfuré faire un malaise ?
Nous avons déjà eu l’occasion de vous le dire : s’il faut choisir, alors le sain, le propre est préférable au beau. Dans l’intérêt général, il vous faut réviser vos priorités et agir conformément à vos obligations légales.
Pour EPLP, Martine Cornaille
(1) Nous effectuons des prélèvements pour analyses bactériologiques et chimiques afin d’évaluer de potentiels impacts sur la qualité des eaux de baignade en aval (Anse Vata)…