COMMUNIQUE DU 20 OCTOBRE 2024
Sédentarité, obésité, diabète, consommation d’alcool, de tabac, de cannabis, d’aliments ultra transformés et d’édulcorants, exposition à des toxiques professionnels ou aux particules fines, travail de nuit… les facteurs modifiables qui participent à la hausse des cancers du sein sont désormais bien identifiés (1).
D’autres facteurs individuels de risque ont été identifiés : âge à la puberté, nombre d’enfants, âge à la première grossesse, allaitement –non / oui et durée-…
Une prévention PERSONNALISEE devrait par conséquent et sans discussion possible être mise en place, en allant au-delà du très décrié dépistage systématique par mammographie.
Ce faisant, « La moitié des décès par cancer du sein pourraient être évités » selon le Dr Suzette Delaloge (cancérologue à l’Institut Gustave Roussy, Villejuif).
Nombre de pays ont mis au point des « scores de risque » intégrant ces facteurs pour identifier les femmes à risque élevé de cancer du sein et leur proposer un suivi étroit voire des traitements préventifs (ex. hormonothérapies, mastectomies prophylactiques….
Et NOUS que faisons-nous ? Toujours rien de bien…
Nous appelons avec gravité les médias, les praticiens, les associations « spécialisées » (!!!!) à remplir leur rôle en délivrant une information digne de ce nom : les femmes ont le DROIT ABSOLU DE SAVOIR et de décider pour elles-mêmes en toute connaissance de cause.
Pour EPLP, Martine Cornaille
Sédentarité, obésité, diabète, consommation d’alcool, de tabac, de cannabis, d’aliments ultra transformés et d’édulcorants, exposition à des toxiques professionnels ou aux particules fines, travail de nuit… les facteurs modifiables qui participent à la hausse des cancers du sein sont désormais bien identifiés (1).
D’autres facteurs individuels de risque ont été identifiés : âge à la puberté, nombre d’enfants, âge à la première grossesse, allaitement –non / oui et durée-…
Une prévention PERSONNALISEE devrait par conséquent et sans discussion possible être mise en place, en allant au-delà du très décrié dépistage systématique par mammographie.
Ce faisant, « La moitié des décès par cancer du sein pourraient être évités » selon le Dr Suzette Delaloge (cancérologue à l’Institut Gustave Roussy, Villejuif).
Nombre de pays ont mis au point des « scores de risque » intégrant ces facteurs pour identifier les femmes à risque élevé de cancer du sein et leur proposer un suivi étroit voire des traitements préventifs (ex. hormonothérapies, mastectomies prophylactiques….
Et NOUS que faisons-nous ? Toujours rien de bien…
Nous appelons avec gravité les médias, les praticiens, les associations « spécialisées » (!!!!) à remplir leur rôle en délivrant une information digne de ce nom : les femmes ont le DROIT ABSOLU DE SAVOIR et de décider pour elles-mêmes en toute connaissance de cause.
Pour EPLP, Martine Cornaille