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Pandémie de Monkeypox (Mpx)

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Pandémie de Monkeypox (Mpx) COMMUNIQUE DU 30 AOUT 2024

Le 26 août 2024 un groupe politique local s’est ému par voie de communiqué du risque d’introduction du nouveau variant du virus Monkeypox dit de la variole du singe en Nouvelle-Calédonie (1). Il a rappelé que l’OMS a sonné le tocsin le 14 août dernier. Une nouvelle pandémie nous mettrait en danger…
En effet, en 48 heures, on a eu de la part de l’OMS une déclaration d'urgence et l’annonce de la solution vaccinale !

Et à la suite de l’OMS, les gouvernants (« Le système de santé français a été placé en état de vigilance maximale» a déclaré le Premier ministre démissionnaire), secondés par des médias serviles (2) ont ouvert une nouvelle séquence anxiogène laquelle est donc arrivée jusqu’à nous.
Pourtant, à part le Congo Kinshasa et quelques autres pays voisins (Burundi, Kenya, Rwanda et Ouganda) où les ressources médicales sont rares, peu de pays sont touchés.

On a dénombré 51 cas entre septembre 2023 et janvier 2024 dont 24 travailleurs du sexe. Alors non et non, il ne s’agit donc pas d’une « urgence de santé publique de portée internationale » comme annoncé par l’OMS.
La maladie se traduit par des éruptions cutanées et un état grippal. Le virus peu contagieux ne se transmet ni par l’air ni par l’eau mais seulement par contact physique direct (par exemple rapport sexuel) ou indirect (par exemple draps souillés). Le Mpx concerne principalement les travailleurs du sexe et leurs clients ainsi que les patients HIV positif.

Pour nombre d’experts il n’y a pas de menace dans la plupart des pays du monde.
Le site de l'OMS publie des « chiffres clés » : 99 176 cas ont été recensés dans le monde depuis janvier 2022, avec un total de 208 décès, soit une mortalité de 0,2 %. On est loin des 3.5% qui fleurissent dans les médias.

Le dernier variant considéré comme plus dangereux a été identifié dans 934 cas, causant 4 décès soit une mortalité de 0,4 %.
Quant au variant du monkeypox qui circule en Europe depuis deux ans, l'Assurance Maladie rapporte 4 967 cas entre mai et décembre 2022 pour 0 décès.
NB : depuis début 2023, l’OMS a recensé plus de 6,5 millions cas de dengue dont 7 300 décès. Personne n’en parle… Est-ce parce qu’il n’y a pas de « vaccin » à vendre ? Bizarre, vous avez dit bizarre ?!

Pour le Mpx, comme pour le coronavirus de la COVID-19, il existe des soupçons bien étayés de manipulation génétique en laboratoire dont l’auteur serait le docteur Bernard MOSS, membre NIH américain. Lorsque la prestigieuse revue Science le révèle en 2022, cela fait grand bruit aux USA et la chambre des représentants demande une enquête. L’autorisation de manipulation aurait été donnée en 2015 avant l’instauration d’un moratoire partiellement levé en 2017. Les travaux ont cependant continué d’être menés hors territoire américain, par exemple en Afrique et en Chine.
Mais nous voilà sauvés ! Les vaccins sont prêts !

Comme un air de déjà-vu ? !

Après l’affaire du Covid, le business de la variole du singe est en marche. La peur, la propagande, la réponse centrée sur les vaccins, rien ne manque, c’est le même cirque : la peur crée la demande et la demande fait la fortune des labos.
À quand un nouveau passe sanitaire et l’obligation vaccinale ?

A l’intention de tous : souvenez-vous et réveillez-vous ! (3)

Pour EPLP, Martine Cornaille

(1) 1 cas calédonien a été identifié en juillet 2022 et la Province sud, jamais avare de sottises, a lancé une campagne de vaccination dès le 11 août !!!!

(2) Sur les ondes de France Inter, on a entendu que le vaccin MVA, fabriqué par la société danoise Bavarian Nordic, « protège des cas graves », et « a certainement la capacité de réduire la contagiosité ». Ce vaccin est vieux de plusieurs années, mais il y aurait « des arguments très forts » pour penser qu'« il va nous protéger tout aussi efficacement contre le nouveau variant » (et la virologie alors qui dit qu’un virus mute en permanence ?). Deux « figures » médicales médiatiques du cirque Covid ont aussi été interviewées. Devinez qui ? Karine Lescombe et Xavier Lescure !
A la suite de quoi, l'entreprise danoise a annoncé une augmentation de sa production, ainsi qu'une demande auprès de l'Agence européenne des médicaments (EMA) pour approuver son produit pour les adolescents (12-17 ans). Et là, bonne nouvelle : le cours de l'action de l'entreprise s’est envolé !

(3) EPLP rappelle qu’elle demande pour la Nouvelle-Calédonie la sortie de l’OMS, agence désormais aux mains d’intérêts privés incompatibles avec la recherche du bien-être mondial.