COMMUNIQUE DU 19 SEPTEMBRE 2024
Notre déclaration sur RRB du 19 septembre 2024
« Nous remercions votre auditeur qui, hier, dans le cadre de l’émission « Vous avez un avis », a déploré le fait que les médias locaux ne répercutent pas les informations d’EPLP notamment celle traitant de la surmortalité grave et persistante qui touche la Nouvelle-Calédonie depuis 3 ans.
En 2023, on enregistre encore 28 décès excédentaires chaque mois, source ISEE.
Rappelons que si 2021 a été l’année Covid avec, rappelons-le, abandon de soin et injections létales de Rivotril, 2022 et 2023 ont été des années sans épidémie, sans émeutes, sans catastrophe naturelle…
Alors quoi ?
Faut-il incriminer les injections PFIZER pour expliquer ces anomalies macabres ?
Dans le doute, ne faut-il pas appliquer le principe de précaution et stopper ces injections ? Nous, nous le pensons.
Nous en appelons aux Dr de Greslan, Saïdi, Kamblock et consorts. Où sont-ils aujourd’hui ? On ne les entend pas à ce sujet… Leur « science » nous serait pourtant très utile !
Par ailleurs, cet énième silence des médias gardé sur nos communiqués illustre, d’une part, la formidable censure qui touche notre association depuis la « crise Covid », et depuis beaucoup plus longtemps s’agissant de RRB qui organise notre invisibilisation avec beaucoup d’application et d’obstination.
Nous déclarons que dans le cadre de la « refondation » calédonienne dont tout le monde se gargarise, il faudra se pencher très sérieusement sur l’indépendance des organes de presse et donc sur leur financement.
Nous déplorons en effet leur assujettissement au grand capital local et / ou aux pouvoirs politiques pourvoyeurs de grasses subventions.
Or, si la liberté de la presse ne se discute pas, le droit des citoyens d’être informés ne se discute pas davantage.
Seuls des médias libres et respectant la charte de Munich peuvent remplir leur office qui relève de l’intérêt général. En effet, seuls des citoyens bien informés sont libres pendant que des citoyens mal informés sont des esclaves.
Nous suggérons donc aux médias locaux de faire leur aggiornamento et aux Calédoniens participant à la consultation publique du plan S2R de dénoncer les dysfonctionnements anti démocratiques d’une presse calédonienne sous influence qui organise la censure de la société civile critique, et d’exiger de profondes réformes de son financement ».
Pour EPLP, Martine Cornaille
Ce que nous aurions dit dans un droit de réponse (demandé et refusé par la radio):
1) rappelons à l’animateur que nos communiqués sont bel et bien adressés à RRB et pas « repris ». D’autre part, ne lui en déplaise, le porte-parole de l’association est sa présidente, pas son avocate. Ce n’est pas à RRB à organiser la vie de notre association… Quelle prétention !
Quant à « attendre des confirmations », nous sommes admiratifs de sa patience puisque beaucoup, beaucoup de temps a passé. Ajoutons que le principe de précaution doit trouver à s’appliquer sans délai parce que des VIES sont en jeu !
2) pour Catherine : rappelons-lui qu’il est question des années 2022 et 2023. Son intervention sur les arrêts de traitement survenus en 2024 consécutivement aux émeutes est donc totalement hors sujet. Il faut apprendre à écouter chère Madame !
Conclusion : certains organes de presse sont des CALAMITES pour la Nouvelle-Calédonie.
Et dans ce domaine-là, RRB est bien « première »...
Notre déclaration sur RRB du 19 septembre 2024
« Nous remercions votre auditeur qui, hier, dans le cadre de l’émission « Vous avez un avis », a déploré le fait que les médias locaux ne répercutent pas les informations d’EPLP notamment celle traitant de la surmortalité grave et persistante qui touche la Nouvelle-Calédonie depuis 3 ans.
En 2023, on enregistre encore 28 décès excédentaires chaque mois, source ISEE.
Rappelons que si 2021 a été l’année Covid avec, rappelons-le, abandon de soin et injections létales de Rivotril, 2022 et 2023 ont été des années sans épidémie, sans émeutes, sans catastrophe naturelle…
Alors quoi ?
Faut-il incriminer les injections PFIZER pour expliquer ces anomalies macabres ?
Dans le doute, ne faut-il pas appliquer le principe de précaution et stopper ces injections ? Nous, nous le pensons.
Nous en appelons aux Dr de Greslan, Saïdi, Kamblock et consorts. Où sont-ils aujourd’hui ? On ne les entend pas à ce sujet… Leur « science » nous serait pourtant très utile !
Par ailleurs, cet énième silence des médias gardé sur nos communiqués illustre, d’une part, la formidable censure qui touche notre association depuis la « crise Covid », et depuis beaucoup plus longtemps s’agissant de RRB qui organise notre invisibilisation avec beaucoup d’application et d’obstination.
Nous déclarons que dans le cadre de la « refondation » calédonienne dont tout le monde se gargarise, il faudra se pencher très sérieusement sur l’indépendance des organes de presse et donc sur leur financement.
Nous déplorons en effet leur assujettissement au grand capital local et / ou aux pouvoirs politiques pourvoyeurs de grasses subventions.
Or, si la liberté de la presse ne se discute pas, le droit des citoyens d’être informés ne se discute pas davantage.
Seuls des médias libres et respectant la charte de Munich peuvent remplir leur office qui relève de l’intérêt général. En effet, seuls des citoyens bien informés sont libres pendant que des citoyens mal informés sont des esclaves.
Nous suggérons donc aux médias locaux de faire leur aggiornamento et aux Calédoniens participant à la consultation publique du plan S2R de dénoncer les dysfonctionnements anti démocratiques d’une presse calédonienne sous influence qui organise la censure de la société civile critique, et d’exiger de profondes réformes de son financement ».
Pour EPLP, Martine Cornaille
Ce que nous aurions dit dans un droit de réponse (demandé et refusé par la radio):
1) rappelons à l’animateur que nos communiqués sont bel et bien adressés à RRB et pas « repris ». D’autre part, ne lui en déplaise, le porte-parole de l’association est sa présidente, pas son avocate. Ce n’est pas à RRB à organiser la vie de notre association… Quelle prétention !
Quant à « attendre des confirmations », nous sommes admiratifs de sa patience puisque beaucoup, beaucoup de temps a passé. Ajoutons que le principe de précaution doit trouver à s’appliquer sans délai parce que des VIES sont en jeu !
2) pour Catherine : rappelons-lui qu’il est question des années 2022 et 2023. Son intervention sur les arrêts de traitement survenus en 2024 consécutivement aux émeutes est donc totalement hors sujet. Il faut apprendre à écouter chère Madame !
Conclusion : certains organes de presse sont des CALAMITES pour la Nouvelle-Calédonie.
Et dans ce domaine-là, RRB est bien « première »...