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Nouvelle-Calédonie, vaccins à la Schlague !

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Nouvelle-Calédonie, vaccins à la Schlague !

OBJET : demande du congrès de la Nouvelle-Calédonie d’HOMOLOGATION de PEINE DE PRISON en cas de REFUS de VACCINATION, adressée à l’Etat

                                   NC, VACCINS A LA SCHLAGUE !

  Alors qu'en métropole l'extension des obligations vaccinales de 3 à 11 vaccins agite fortement la société civile (1), la Nouvelle-Calédonie s'est résignée depuis longtemps à son triste sort: elle est concernée depuis des lustres par d’invraisemblables abus en matière de vaccination avec 10 (et peut-être bientôt 11) vaccins obligatoires et trois « conseillés » (2). NB : nous observons par ailleurs que les évaluations de cette politique « ultra » datent… Bien que notre opinion soit faite, nous ne souhaitons pas rentrer dans le débat pour ou contre la vaccination. Nous critiquons  l’OBLIGATION de vaccination et exigeons la LIBERTE DE CHOIX (3) conformément à la loi dite Kouchner du 4 mars 2002. Or un acte du congrès de la Nouvelle-Calédonie publié au Journal officiel du 15 août 2017 nous donne l’occasion de dénoncer avec la plus grande vigueur l’autoritarisme qui prévaut ici en matière vaccinale (4).  

Cet acte est une résolution (5) proposée par la commission de la santé du congrès (6). Son article 1er sollicite de l’Etat l’homologation, pour la Nouvelle-Calédonie, de la PEINE D’EMPRISONNEMENT POUR REFUS DE VACCINATION (7).

Cet acte attentatoire aux libertés a provoqué stupéfaction et indignation parmi nous et nous voulons partager notre inquiétude devant ce nouveau signe de dérive autocratique de nos institutions. Cette mesure coercitive en matière vaccinale est une nouvelle illustration de l’état pitoyable de notre démocratie. C’est aussi un acte de nature à transformer les hésitants voire les « pro vaccins » en farouches opposants.            La vaccination est un acte médical INVASIF. En 2011, la Cour Suprême des États Unis a considéré que les vaccins sont "inévitablement dangereux" et que par conséquent la vaccination obligatoire n'est pas médicalement ni éthiquement acceptable. Le parlement suédois a déclaré inconstitutionnelle toute obligation vaccinale en mai 2017 et le Bundestag (parlement allemand) a repoussé une loi tendant à rendre obligatoire le vaccin ROR début juin 2017. Le ROR vient d’être interdit au Japon, trop dangereux ! Tout traitement médical forcé constitue une violation de :
  • La déclaration des Droits de l'Homme des Nations Unis
  • La Charte des Droits fondamentaux de l'Union européenne (a)
  • La Convention internationale relative aux Droits de l'enfant (b) CIDE des Nations Unies
  • La Convention du Conseil de l'Europe pour la protection des Droits de l'Homme et de la dignité de l'être humain à l'égard des applications de la biologie et de la médecine : Convention sur les Droits de l'Homme et la biomédecine (Convention d'Oviedo)
  • La Charte européenne des droits du patient (c)
  • Le Pacte international des Nations Unies relatif aux Droits civils et politiques
  • Le Code de Nuremberg
(a) « Le consentement libre et éclairé doit être respecté dans le champ de la médecine et de la biologie ». « Chacun a le droit au respect de son intégrité physique et mentale » (c) article 9 chaque personne a le droit... à des services de santé et des traitements de santé qui répondent à des normes élevées de sécurité (b) CIDE la responsabilité d'élever l'enfant et d'assurer son développement incombe au premier chef aux parents...Ceux-ci doivent être guidés avant tout par l'intérêt supérieur de l'enfant. Mais en Frônce et en NC, on y va « à la schlague » ! Les médicaments prescrits pour soigner une maladie présentent un rapport bénéfices risques favorable notamment parce qu'ils sont réputés améliorer l'état de santé de personnes MALADES. Mais les vaccins s'adressent la plupart du temps à des PERSONNES EN BONNE SANTE et elles peuvent considérer que les risques d’effets indésirables sont pour elles inacceptables. Nous insistons sur le fait que les obligations vaccinales s'adressent d'abord à un groupe très vulnérable, celui des « tout petits »... En Nouvelle-Calédonie, 27 « doses » sont administrées aux bébés avant 1 an puis 26 supplémentaires entre 1 et 16 ans (total 0-16 ans : 53 !!!!). N’est-ce pas là un « régime de cheval » ???? Est-il bien raisonnable de l’imposer à tous, sans distinction ???? Quelle outrance, quel abus de pouvoir, quel mépris, quelle inconscience ! La vaccination nous est prescrite AVEC MENACES mais SANS PREUVE d'efficacité et d'innocuité (il n’est que de lire les notices des vaccins qui listent de nombreux effets indésirables incluant parfois le décès !), sans discussion, comme une vérité révélée, dogme inébranlable et universel… Nous vivons sous le joug d'une tyrannie des lobbies industriels et médicaux (8). Notre liberté d'accepter ou de refuser est aujourd'hui encore plus menacée avec la pénalisation du refus. Nos élus n’ont-ils pas autre chose à faire ???? !!!! Par exemple réglementer comme nous le demandons depuis parfois 10 ans, les biocides, les nuisances sonores, l’exposition aux champs électromagnétiques, l’alimentation animale, la parité femmes-hommes…? (9) Compte tenu des énormes lacunes actuelles dans la compréhension scientifique de la vaccination, l'exigence de fournir une information complète et compréhensible préalable n'est tout simplement pas possible. Aussi longtemps que la sécurité d’une procédure médicale ne peut être garantie, le principe de précaution doit être appliqué. Les Calédoniens n’ont pas besoin de menaces pour prendre leur santé en mains. Cessez de les considérer comme des mineurs irresponsables ! Confiants dans vote lucidité de « représentants du peuple » désormais « éclairés », nous vous demandons l’abrogation de toutes les obligations vaccinales calédoniennes (10). NB : cet article a été rédigé en août 2017 et mis à jour le 20 novembre 2017     Pour EPLP, la Présidente, Martine Cornaille  
  • Des pétitions pour exiger la disponibilité du DTP (vaccin trivalent) ont obtenu plus d'un million de signatures et d'autres, encore en cours, visant à l'abandon de l'extension d’obligation à 11 vaccins recueillent entre 400 et 600 000 signatures.
  • La liste calédonienne des vaccins obligatoires (au nombre de 10) et conseillés (3) est consultable ici
  • Cf Ligue nationale pour la liberté vaccinale.
  • La France et l'Italie sont les seuls pays européens à avoir des obligations vaccinales. Les 25 autres gouvernements européens seraient-ils de vilains négligents ?!
  • Consultable à http://www.juridoc.gouv.nc/juridoc/jdwebe.nsf/joncentry?openpage&ap=2017&page=10457
  • La commission santé du congrès NC est composée de SANMOHAMAT Rusmaeni, LALIE Jacques, SIO-LAGADEC Sutita, BOUANOU Ivana, FALELAVAKI Henriette, HOLERO Prisca, LAFLEUR Isabelle, MOLE Dominique, ROBINEAU Nicole, TIDJINE-HMAE Henriette, TIEOUE Ithupane
  • Cette peine devrait disparaître mais l’arsenal répressif continuera d’exister avec l’exclusion des établissements scolaires, des maisons de retraite, les poursuites pour défaut de soins etc.
  • Nous observons que dans l'Europe des 27, la présence d'industries pharmaceutiques « nationales » joue un rôle non négligeable dans l'évolution des politiques vaccinales des pays…
  • Autre bénéfice, à l’heure où le RUAM est en cessation de paiement, cela soulagera nos comptes sociaux (tant du coût des vaccinations elles-mêmes que de leurs parfois terribles complications que des impacts sanitaires de ces agents, chimiques et physiques…)
  •  Nous reproduisons ci-après une demande d’entente préalable pour examens pré-vaccinaux adressée par « Doctorix » à Madame Buzin, ministre français de la santé le 17 novembre 2017
Madame Buzyn. La maman de l'enfant XYZ me demande de vacciner son enfant contre 11 maladies selon l'obligation légale que vous avez instituée. Afin de m'assurer que l'organisme de cet enfant pourra supporter ces onze vaccinations sans aucun risque, je me propose de lui faire subir les examens suivants, selon les recommandations des autorités de santé et celles du code de déontologie, et conformes au serment d'Hippocrate, et de son corollaire principal : "Primum non nocere, en premier lieu ne pas nuire" : un bilan clinique et biologique complet préalable, à savoir : 1/ un ionogramme complet et un dosage de l'urée 2/ un lipidogramme  3/ un bilan endocrinien  4/ un titrage de tous les anticorps spécifiques aux vaccinations éventuelles déjà subies,  5/ un test de dépistage du SIDA et de toutes les hépatites ( ces maladies sont des CONTRE INDICATIONS FORMELLES A TOUTE VACCINATION, ainsi d'ailleurs que toute personne vivant avec une greffe d'organe )  6/ une électrophorèse et une immunopherèse des protéines sériques, de manière à avoir une image globale des capacités ou incapacités éventuelles de l'organisme de cet enfant à fabriquer des anticorps.  7/ un bilan radiologique, à savoir une radiographie panoramique dentaire et cela dès qu'il y a au moins une dent dévitalisée, et une radiographie pulmonaire pour éliminer toute image de tuberculose pulmonaire. 8/ une analyse d'urines avec recherche de protéinurie. 9/ Une batterie de tests allergologiques (encore que ces tests soient bien insuffisants en regard des nombreux composants d'un vaccin). 10/ Un typage HLA, d'un coût minimum de 600 euros, certains enfants ayant jusqu'à 9 fois plus de risques que d'autres de subir une maladie auto-immune ou démyélinisante, ce qu'on ne peut déterminer à l'avance sans examen, et sans toutefois que cela soit une sécurité absolue pour l'avenir post-vaccinal. Ces examens représentent une dépense de plusieurs centaines d'euros, qui ne sont pas compatibles avec les revenus de cette Maman, et qui d'ailleurs ne lui incombent pas dans notre système de santé.  Aussi, j'ai fait auprès de ma Caisse Primaire d'Assurance Maladie une demande de prise en charge préalable pour ces examens indispensables, si je veux préserver à la fois la santé de cet enfant que l'on m'a confié en bonne santé, et ma responsabilité pénale. En effet, certains enfants ont pu être handicapés parce qu'on avait négligé ces précautions indispensables, et certains médecins ont pu être poursuivis pour des accidents post-vaccinaux (comme aussi pour des certificats d'aptitude au sport mal étayés, c'est-à-dire sans ECG, radios diverses, épreuve d'effort, et plusieurs autres, tous examens complémentaires indispensables mais trop souvent négligés). Cette prise en charge m'a été refusée, pour des raisons de coût. Et je le conçois bien volontiers, sachant que 800.000 enfants supplémentaires devraient logiquement les subir chaque année, dans les deux premières années selon vos recommandations mais aussi avant les revaccinations suivantes, leur état immunologique ayant pu évoluer entretemps. Ce qui représente plusieurs milliards d'euros annuels, et ne concerne que vous, en temps qu'initiatrice de cette mesure, mais ni moi-même, ni cet enfant, ni sa maman. Au vu de l'obligation vaccinale que vous avez instituée, qui met en cause votre responsabilité comme la mienne, ce refus me parait médicalement injustifié (s'il est justifié financièrement), mais il est irrévocable.  Dans ces conditions, je ne peux me résoudre à un acte médical potentiellement dangereux chez un enfant dont je ne connais pas les aptitudes ou déficiences immunologiques, ni l'état de santé global. La médecine n'est pas, en effet, une pratique divinatoire. Mais la sécurité vaccinale est à mes yeux à ce prix. Pour le bien de cet enfant, comme pour ma sécurité morale et matérielle, je me vois donc contraint de refuser toute vaccination chez cet enfant en l'absence de ces précautions. Normalement, tout autre médecin devrait avoir la même attitude, à moins de faire preuve de légèreté, voire d'irresponsabilité.  Je m'étonne par ailleurs d'avoir pu trouver autant de produits toxiques dans des produits recommandés par votre administration, et je me suis laissé dire que les accidents vaccinaux étaient beaucoup plus fréquents que ce qui est signalé (avec une sous-notification de 90 à 99% des cas selon le VAERS). Ce qui n'est pas apparu dans les conclusions du rapport Fischer après la "concertation citoyenne" initiée par Mme Touraine - des conclusions qui me sont au reste apparues bien légères et bien peu conformes au contenu des débats. Avec la maman, je me pose donc la question suivante : Comment répondre à la fois à l'obligation vaccinale multiple, à mon devoir déontologique de laisser un enfant en aussi bonne santé que lorsqu'on me l'a confié, et à la nécessité d'un carnet vaccinal complet nécessaire avant toute admission en crèche, si on me refuse les moyens de prendre les précautions préalables indispensables selon le critères actuels de la science, avant tout acte de cette gravité ? Ne doutant pas que vous m'apporterez une solution à ce dilemme, je vous prie de croire, Mme la Ministre, à l'expression de mes sentiments les plus confraternels. Doctorix COMMUNIQUE DE PRESSE DU 22 NOVEMBRE 2017